sarkozix et humour politique

Chers visiteurs occasionnels ou réguliers,

depuis déjà plus de 2 ans vous partagez avec nous une certaine forme de dérision tout spécialement réservée au premier des gaulois, actuellement locataire à nos frais de l'Elysée. Vos encouragements et témoignages quotidiens nous encouragent à persévérer dans cette voie humoristique, et notre envie de vous amuser est restée intacte depuis le mois juin 2005, qui marquait le démarrage de ce blog...à une époque où les sondages étaient si hauts dans le ciel sarkozien...

La constante de cette aventure, c'est le maintien en 1ère place sur Google ( plus important moteur de recherches du web ) de votre blog préféré dans la rubrique "humour politique" ou "politique humour" sur des centaines de milliers de références : http://www.google.fr/search?hl=fr&q=politique+humour+&btnG=Rechercher&meta=lr%3Dlang_fr

MERCI !

Comments

[Fred]

Bonjour, je vous laisse un petit texte que j'ai écrit pour tout commentaire :


Sarkozix dans : « La Zizanie » …

Il était un petit village d’irréductibles en Gaulle… où il se passait des choses bien étranges depuis quelques mois. Certains habitants du village commençaient à se demander si Zarkozix, leur chef du village fraîchement élu et marié à la belle Carla, était en train de perdre les pédales. D’autres commençaient à penser que ce nouveau venu était finalement peut-être un stratège machiavélique, envoyé par les Romains, qui ne cherchait qu’à les diviser… pour mieux régner et asseoir son totalitarisme. Enfin une minorité, de moins en moins nombreuse et atteinte de conjonctivite aiguë, continuait d’encenser « Sarkozix Le Grand ». Combien de temps cette situation allait-elle durer… ?

…ou diviser pour mieux régner !

Au vu du contexte politique actuel orbitant autour du Chef de l’Etat, il n’y a que deux hypothèses qui s’offrent à nous pour essayer de comprendre où va le Président. La première est d’ordre pathologique, et la seconde d’ordre stratégique : les deux étant aussi inquiétantes l’une que l’autre. Les plus pessimistes d’entre nous pourraient même échafauder une troisième hypothèse, qui serait un mélange des deux genres : une stratégie pathologique…

Première hypothèse, d’ordre pathologique

« De par ses interventions et sa personnalité chaotique, le narcissique Chef de l’Etat serait un homme nerveusement et psychologiquement malade. Et qu’en tant que tel, Le Président ne serait pas digne d’honorer sa fonction, ni à même de la mener à bien, puisque se comportant comme un être immature, arrogant, capricieux, égoïste, irresponsable, irrespectueux, impulsif et caractériel. Le Président serait donc un homme potentiellement dangereux pour la nation. »

Qu’en est-il ?
En analysant l’image que nous laisse quotidiennement le Président de la République, nous pouvons constater qu’il souffre de troubles comporte-mentaux. Toutes les personnes un tant soit peu attentive peuvent observer au quotidiens ses tics et ses tocs, sa façon arrogante et irrespectueuse de communiquer, la façon impulsive et narcissique qu’il a de mener sa politique, ou encore d’observer les travers intempestifs et intempérants de sa vie privée. Notre Président, ce grand émotif au regard si doux, fonctionne aux coups de foudre et aux coups de têtes, et ce, aux dépens de l’intérêt du peuple français.
Au vu des frasques présidentielles, la question légitime et inquiétante que peuvent se poser les français est la suivante : « La santé mentale du Président de la République lui permet-elle d’honorer sa fonction sans mettre en danger la nation? » Seul un expert en psychiatrie pourrait nous le révéler.

Que faire ?
En ces temps où la trouble personnalité du Chef de l’Etat s’étale chaque jour dans les médias, les français ne seraient-ils pas en droit d’exiger un examen clinique psychiatrique de ce dernier ? Ce droit, d’ailleurs, ne devrait-il pas un être un Droit Fondamental et Légitime pour un peuple qui s’est vu promettre une politique de transparence par ce dit Président ? Tous les élus et représentants du peuple pourraient peut-être essayer de faire voter un texte allant dans ce sens, afin de s’assurer que nous ne sommes pas gouvernés par un maniaque.

Finalement, l’Etat s’arroge bien assez souvent le droit de s’immiscer impunément dans des domaines très privés de la vie de chacun : par exemple lors de tests ADN imposés à certains immigrés candidats à la nationalité française, ou encore quand il exige un test de dépistage du VIH aux couples qui veulent se marier. Certes, c’est une grave et importante décision que le mariage : ça ne se fait pas en 3 semaines… Il en va de même pour devenir citoyen d’un pays : c’est une affaire sérieuse d’affinités culturelles et sociales, à moins d’être footballeur…. Mais présider une nation de manière cohérente, prendre des décisions vitales au nom de tout un peuple et le représenter dans le monde entier n’est-il pas une tâche qui demande la pleine possession de ses capacités mentales et la pleine maîtrise de ses capacités psychologiques? Le peuple n’a-t-il pas le droit d’être informé sur la santé mentale de son Président ? Surtout quand on constate que ce dernier réagit beaucoup de manière irréfléchie et impulsive, mais n’agit concrètement que très peu. C’est un peu le Président « moulin à vent » qui affronte les « Don Quichotte » de Gauche…

Deuxième hypothèse, d’ordre stratégique

« Le Chef de l’Etat suivrait une stratégie qui est familière aux gouvernements américains. Dans l’absolu, cette stratégie a pour but la déstabilisation et l’élimination des « gêneurs » en semant la zizanie au sein d’un peuple, puis la prise de pouvoir de ce peuple de façon arbitraire pour s’en approprier les richesses ou la favorable position géographique, et enfin l’exploitation et le lavage de cerveau de ceux qui ont survécu. Cette stratégie est une tragédie qui se joue en quatre actes. »
Acte 1 – Préparer un terrain propice à la discorde (semer des zizanies intercommunautaires, armer des communautés ennemies, affamer les populations) ;
Acte 2 – Organiser le chaos et la répression (inventer et créer des menaces, instaurer la logique de peur, attiser les haines intercommunautaires, raciales et sociales, créer des attentats si ceux-là ne se manifestent pas d’eux-mêmes);
Acte 3 – Prise de pouvoir arbitraire, pillage et massacres (écraser les ennemis fabriqués ou imaginaires, décimer les populations civiles désarmées, au nom de la lutte contre le terrorisme et de l’équilibre de paix mondial -sans oublier de violer les droits de l’homme au passage, pillage des richesses)
Acte 4 – Assise du pouvoir, exploitation des biens et des personnes (envoyer les « ambulances bleues » et Kouchner avec ses sacs de riz pour se donner bonne conscience, finir d’asservir totalement le peuple et de lui laver le cerveau avec les belles phrases qui prônent la démocratie, exploiter au maximum ce qui est encore exploitable, puis s’en aller sur la pointe des pieds tout en gardant la mainmise ferme sur le pays).
Epilogue classique - un peuple à genou et divisé qui doit sa « liberté » au Grand Frère qui n’avait pour but que de lutter pour la paix mondiale, le bien, la démocratie et la sécurité nationale. Thank You ! Et comme dit Truman dans le film The Truman Show : « ...and if I don’t see you again : Good Morning, Good Afternoon and Good Night! ».
« Suivant cette stratégie, le Président tenterait de déstabiliser le pays en le divisant, en l’affamant par l’inaction afin que le peuple se révolte et descende dans la rue. Puis il lâcherait ses chiens, reprendrait le contrôle par la force, renforcerait le climat de peur et d’insécurité en stigmatisant et éliminant certains groupes qui le dérangent, créerait des lois encore plus répressives, remanierait la Constitution en sa faveur, instaurerait plus d’impôts, plus d’asservissement (la puce sous-cutanée obligatoire, peut-être) : et le tyran réapparaîtrait au final sous les traits du « sauveur », du rétablisseur de l’ordre, du nouveau « père de la nation », lui qui aurait été victime de discriminations, de gauchistes jaloux, de médias charognards et d’infâmes terroristes qui en voulaient à la sécurité de la nation et à lui-même. On peut imaginer tous les gêneurs qu’il enverrait pourrir à vie dans les Goulags de Mme Dati… »

Où en est la stratégie « Big Brother à la sauce Nicolaï Sarkozix » en France?
Nous flottons pour l’instant entre les Actes 1 et 2, à savoir, préparer le terrain et organiser le chaos et la répression.

Profiter d’un grave appauvrissement de la population pour l’affamer un peu plus : la condition est remplie avec la formidable hausse des prix, des salaires qui ne suivent pas le coût de la vie, la baisse du pouvoir d’achat et la précarité de l’emploi qui vont crescendo. La grande majorité de la population, impuissante, est touchée et terrorisée à l’idée qu’à tout moment la vie peut basculer dans la misère. Des armes dont le pouvoir et le patronat usent et abusent pour un asservissement du peuple qui va crescendo.
La stratégie consiste donc à profiter de cet appauvrissement et d’enfoncer le clou : en créant plus de taxes et d’impôts, en créant plus de répression pour créer un climat d’insécurité ou en supprimant graduellement les droits acquis : première marche vers la dictature. Ceci est en cours avec, par exemple, le droit à la santé qui va bientôt être classé « espèce en voie de disparition » ou la franchise médicale qui bat son plein : la tactique religieuse de culpabilisation ; il faut culpabiliser les malades. Ou bien encore avec l’inaction des pouvoirs publiques face à la flambée des prix -puisque au final c’est l’état qui en bénéficie par le biais de la TVA, ou le Président qui n’a tenu aucun engagement face à son slogan de campagne « Le pouvoir d’achat », qui ferme les yeux devant les licenciements abusifs opérés par de grands groupes, ou encore en chassant à coup de matraques des SDF qui installent leurs tentes rouges sur les bords de Seine (mais en accueillant en hôte de marque le dictateur libyen qui plante sa tente à l’Elysée et ridiculise Sarkozix Le Grand)…

Semer la zizanie intercommunautaire pour inciter à la haine et élargir les clivages. Par exemple, en bafouant ouvertement certains principes constitutionnels comme celui de la laïcité avec des discours sirupeux, notamment le fameux « un instituteur ne pourra jamais remplacer un curé ». Ou bien en prenant parti publiquement et jusque dans les écoles laïques de la République, pour l’une des deux communautés qui sont le plus gravement divisées : juives et les musulmanes ; c’est le coup de la mémoire de la Shoa. Ou encore en affichant ouvertement, en tant que Président d’un état laïque, son appartenance à une religion : en l’occurrence le Christianisme. Sans parler de l’épisode des sectes et de la Scientologie « qui sont un non-problème » : des relents inquiétants de sociétés secrètes qui s’invitent au pouvoir. On comprend mieux ses visites empressées à Mr. Bush et ses Illuminatis.

Attiser les haines intercommunautaires et les haines entre les classes sociales. Afin d’exacerber encore plus les tensions sociale, il est nécessaire d’accentuer les inégalités entre « la France d’en haut et la France d’en bas». Par exemple, en dépénalisant les délinquants en col blanc, tout en raffermissant la répression sur le peuple : allant même jusqu’à faire des appels à la délation, rémunérés (et à côté de ça, on veut imposer à nos enfants le devoir de mémoire sur les victimes de la Shoa… Qu’allons-nous leur répondre quand ils nous demanderons pourquoi le gouvernement français actuel utilise les mêmes méthodes qu’à cette époque ?). Il est tout aussi nécessaire d’autoriser des multinationales, subventionnées par l’état et qui affichent des bénéfices annuels à 7 chiffres, à licencier la moitié de ses employés. Pour élargir le gouffre il est incontournable de justifier et de se réjouir de la hausse des salaires des patrons français de 40%, et le président d’augmenter son argent de poche pendant que le peuple commence à avoir du mal à nourrir ses enfants convenablement.

Inverser les valeurs et la fonction de Chef de l’Etat afin d’entraîner le peuple, poussé à bout, dans la rue… Organiser la décridibilisation totale du pouvoir par de multiples dérapages politiques et médiatiques -certains involontaires, en prenant des mesures inappropriées, et en affirmant tout et son contraire d’une semaine à l’autre : le peuple se sent floué et perdu, abandonné au creux de la vague au moment même où le gouvernement devrait être là pour tenir la barre, en respectant ses engagements et en trouvant des solutions concrètes. Jouer d’un terrain vide d’adversaires politiques qui sont pris de vitesse dans ce tourbillon du tout et n’importe quoi, et occuper tout le terrain médiatique, tout en dénonçant cette surexposition médiatique lors des « dérapages contrôlés » : Les français ont l’impression de n’avoir plus qu’un seul interlocuteur atteint d’une otite carabinée et qui passe son temps à monologuer : ils sont gouvernés par un autocrate mégalomaniaque. Infantiliser et mépriser le les électeurs en faisant passer de force la Constitution Simplifiée sans consulter le peuple ; « Constitution Simplifiée » qui est la copie conforme de celle que les français avaient refusé majoritairement par référendum quelques années auparavant. Attiser le dégoût et la haine en montrant ouvertement au peuple le mépris qu’on lui porte : par exemple quand le Chef de l’Etat insulte indirectement avec un : « cassez-vous, sales cons », les 62% de français qui n’ont certainement pas envie de lui serrer la main, puisqu’ils n’adhérent plus à sa politique ni à son image. Bel exemple de civisme pour celui qui veut réinstaurer un programme de « bonne manières et de civisme » à l’école. Une telle reconnaissance envers ceux que le Président dirige (et dont plus de la moitié a voté pour lui) mérite un coup de chapeau et rassure le peuple sur la façon dont il est considéré. Enfin, donner encore le mauvais exemple: refuser la décision du Conseil Constitutionnel, l’autorité suprême, à propos de son refus d’adopter la proposition de loi Dati concernant l’enfermement à vie pour une certaine classe de criminels… (On comprend mieux pourquoi le Président s’est empressé de féliciter son homologue Poutine lors de son élection…) Donc en tant qu’exemple de la nation, le Chef de l’Etat incite clairement le peuple à l’irrespect envers les institutions et à la rébellion envers les sages et ceux qui le gouvernent : puisque le Chef de l’Etat, lui-même, méprise le peuple, ment au peuple, et n’est même pas capable de respecter les principes, les lois et les règles de la République qu’il est pourtant censés représenter, servir et respecter au nom du peuple.

Que penser ?
Nous ne sommes pas encore en mesure de nous prononcer sur la nature des agissements inquiétants du Président : pathologie ou stratégie ? Peut-être les deux : si c’est le cas, et c’est très grave, et il faudrait alors rajouter l’épithète d’incompétence à tout le gouvernement en place.
Mais au vu des faits énoncés ci-dessus, le Président actuel mène le peuple dans des dérives économiques et sociales incontrôlées -qu’il voudrait faire croire incontrôlables, et réuni toutes les conditions requises pour appliquer la stratégie à l’américaine (décrite plus haut) afin d’asseoir sa nouvelle politique : « l’autocratie dictatoriale démocratique ».
C’est en bonne voie puisque aucune mesure rapide et concrète n’a été prise pour endiguer les problèmes économiques liés à la conjoncture mondiale et la hausse des prix qui plongent les français dans la misère ; Rien n’est fait pour favoriser l’emploi, puisqu’on continue à autoriser des grands groupes à licencier des milliers de salariés sans préavis et à sous payer les petits salariés de ce pays; Tout est fait pour accentuer les clivages sociaux, puisque le gouvernement mène une politique d’exclusion considérant par exemple de manière partiale et manichéenne les acteurs de la vie française : les habitants de la Banlieue et les autres ; les jeunes et les autres, ceux issus de l’immigration et les autres, ceux qui se lèvent le matin et les autres, les nantis et les autres, les sales cons et les courtisans du pouvoir. La liste est longue. Que toutes les annonces et mesures personnelles du Président ne sont que des incitations équivoques qui semblent vouées à inciter des conflits intercommunautaires et intrasociaux afin de diviser et asseoir son règne ; quand, bien sûr, ces mots ne pas de la poudre aux yeux pour détourner les problèmes essentiels du moment.
Bref, au vu de la situation politique et sociale actuelle, nous sommes en droit de nous demander si le nouveau joujou du Président, si sa nouvelle inspiration mégalomaniaque ne serait pas de créer Sa Petite Révolution, son mai 08, afin de pouvoir régner seul et éliminer les gêneurs. Mouvement social qu’il se délecterait à mater en bon père fouettard pour mieux asseoir son autocratie, avec l’aide du « maître-chien Alliot Marie » et de « Maître Rachida Dugoulag », sous l’œil incrédule et plein de compassion du Dr. Kouchner, « le Jean Moulin de la dernière heure », en train de convertir les blessés à la nouvelle religion…

Que faire ?
Pour essayer d’éviter un tel scénario catastrophe qui plongerait la France dans un marasme irréversible, il serait temps de pousser le gouvernement à prendre des décisions concrètes sur le pouvoir d’achat des besoins de première nécessité, comme la baisse de la TVA sur l’alimentation ou l’essence par exemple. Pousser le gouvernement à voter des lois qui interdisent des multinationales qui affichent de larges bénéfices à licencier la moitié de ses salariés. Pousser le patronat à augmenter les salaires les plus bas et les plus indécents. Pousser le gouvernement à indexer les salaires sur l’indice des prix, comme en Belgique et au Luxembourg.
Pousser les membres de ce gouvernement à agir concrètement dans l’intérêt du peuple, et non à systématiquement réagir de manière répressive et mégalomaniaque.
Le point de départ pour faire pression sur ce gouvernement, commence par un vote sanction aux élections municipales afin que le petit despote et ses comparses comprennent que les français n’acceptent plus cette farce de mauvais goû+9t. Il faut faire comprendre à ce gouvernement et son Président, aux relents malsains, qu’il est temps d’arrêter de faire du vent et de détourner l’intérêt des français pour leurs intérêts personnels.

[tropicalboy]

J'ai toujours été pour ce vieil adage : " on n'est jamais si bien servi que par soi même"...

[Rimolo]

Quel melon. T'es Incroyable de prétention toi :-)
Bonne route quand meme

[pollux405]

Surtout ne changez rien à votre façon d'etre et à votre façon de faire...Ce site est GENIAL !!!Bonne continuation BIZZZOU

[Artemix]

bravo ! et surtout continuez à nous faire marrer